Prenant en compte les fortes recommandations en termes d’inclusion financière portées par l’Etat du Sénégal, le Groupe Sanlam Assurance, en tant que membre du secteur privé sénégalais entend pleinement y jouer sa partition. C’est ainsi que le Groupe sous l’impulsion de son Directeur Général, M. Majdi Yassine, a lancé la première édition du « Talk de l’assurance », ce jeudi 27 juillet 2023 à Dakar.
Il s’agit, selon M. Yassine, de rencontres d’échanges qui se tiendront tous les trois mois autour des aspects financiers quels qu’ils soient (assurance, microfinance, micro-assurance etc.). Pour cette première édition, trois panelistes ont été conviés pour discuter autour du thème « Assurance vie, vecteur d’optimisation fiscale et de fidélisation de talents ».
Face aux mutations majeures de notre environnement, l’entreprise est à la recherche continue de solutions lui permettant un management proactif du capital humain tout en optimisant ses charges notamment, fiscales. Ainsi pour Sanlam, l’Assurance Vie fait partie des solutions qui répond à ces problématiques à travers ses avantages sociaux mais également fiscaux.
« L’employé pense que le salaire se limite à la partie pécuniaire qui tombe à la fin du mois. Mais c’est l’ensemble des avantages sociaux qu’on peut lui proposer et qui lui permet d’apprécier sur deux entreprises, par exemple, laquelle m’offre le plus d’avantages sociaux, en termes d’assurance retraite », a précisé l’un des panélistes, M. Biram Dior Touré DRH chez Free. Selon lui, l’assurance vie est l’outil déterminant si l’on veut attirer et retenir des talents.
Pour sa part, M. Badara Niang, Country Managing Partner chez Deloitte, a donné en exemple une étude récente sur l’environnement de travail et la rémunération. « L’étude montre que les collaborateurs d’une organisation sont très attachés au management dirigeant, à l’énergie et à l’environnement de travail malgré qu’ils se plaignaient que la rémunération monétaire ne leur satisfaisait pas », rapporte-t-il.
Mais, poursuit M. Niang, ces employés disent à 90% que malgré cette insatisfaction, ils ne quitteraient pas l’entreprise. « Cela veut dire qu’au-delà de la dimension monétaire, il y a une dimension non monétaire qu’on a eu tendance historiquement à négliger dans nos entreprises et qui prend aujourd’hui le pas sur cette dimension monétaire et l’assurance vie constitue une dimension importante », indique Badara Niang.
Le Groupe Sanlam Assurance s’est dit satisfait de cette première édition du « Le Talk de l’assurance » qui a vu la participation d’une centaine de personnes. D’autres thèmes vont suivre et vont dépendre des besoins de connaissance et d’apprentissage du public, a rassuré le DG de Sanlam M. Majdi Yassine.
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