L’organisation internationale de la francophonie à décidé de suspendre avec effet immédiat le Niger de ses instances.
L’annonce a été faite à travers un communiqué qui précise qu’une exception est faite aux programmes ’’bénéficiant directement aux populations civiles, et ceux concourant au rétablissement de la démocratie’’.
La même source demande ‘’la libération immédiate et sans conditions du président Mohamed Bazoum’’ et de sa famille, toujours séquestré dans leur résidence présidentielle avec sa femme Haziza et son fils Salem.
L’organisation exige le ‘’rétablissement rapide de l’ordre constitutionnel et de la démocratie au Niger’’ et a appelé les autorités de transition à établir « un chronogramme de sortie de transition avec une durée limitée dans le temps ».
La CEDEAO et sa Cour de justice, dont le Niger est membre, avaient reconnu le coup d’Etat et ont, elles aussi, ordonné à la junte militaire la mise en liberté immédiate et sans condition de M. Bazoum et de sa famille. Elle a aussi suspendu le Niger de ses instances de décision.
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